Depuis le début de la Vème République en 1958, tous les présidents de la République à l'exception de Georges Pompidou sont venus à La Réunion. Retour en images sur ces déplacements, de de Gaulle à Hollande.
1959 : Charles de Gaulle
Le premier président de la Vème République à fouler le sol de La Réunion est Charles de Gaulle. Le 9 juillet 1959 il est accueilli à Gillot, accompagné de Michel Debré, qui deviendra ensuite député de La Réunion. Les Réunionnais qui ont vécu ces moments, se souviennent de sa descente de l’avenue de la victoire, pendant que les hélicoptères du porte-avion Arromanches se posaient au Barachois. Le Général de Gaulle prend la parole devant plus de 40.000 personnes au stade de la Redoute. Images (muettes) de 1959 :
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1976 : Valéry Giscard d'Estaing
Il faudra attendre 1976 et le Concorde pour qu’un deuxième président de la République vienne à La Réunion. Valéry Giscard d’Estaing reçoit un vibrant accueil à Gillot, avant de gagner en voiture la mairie de Saint-Denis par la rue Maréchal Leclerc. Il se rend notamment à Saint-Louis, ville PCR à l’époque, pour dire son opposition à l’autonomie.
1988 : François Mitterrand
En 1988, toujours en Concorde, François Mitterrand est à La Réunion. C’est la fin de son premier septennat, mais il n’a pas encore déclaré sa candidature pour un second. Il reçoit un accueil chaleureux à l’aéroport et à toutes les étapes sa visite.
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1996 et 2001 : Jacques Chirac
Jacques Chirac vient en tant que chef de l'Etat à La Réunion en 1996 et en 2001. C’est le premier des présidents à effectuer des séjours privés dans l’île, il déclare notamment apprécier la cuisine réunionnaise.
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2010 : Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy visite La Réunion, la première fois comme ministre de l’Intérieur et la fois suivante en 2010 comme président de la République. Il est également venu en 2012, lors de la campagne présidentielle. Lors de son séjour en 2010, il adresse en direct ses vœux à tout l’Outre-mer.
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2014 : François Hollande
En 2014, François Hollande arrive à La Réunion alors que sa cote de popularité est en forte baisse dans une île qui avait pourtant voté pour lui à plus de 70% en 2012. Il multiplie les annonces en matière d'économie et d'emploi.
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