Philippe Bilger, ancien avocat général, aujourd'hui retraité, estime sur Twitter que la polémique sur le terme "Bamboula" n'est pas "un drame". Il qualifie ce mot de "Presque affectueux".
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Philippe Bilger, 73 ans, est l'une des figures les plus médiatiques de la magistrature, même s'il est aujourd'hui retraité. Cet ancien avocat général s'est exprimé via son compte Twitter sur la polémique déclenchée par un syndicaliste policier à propos de l'utilisation du mot "Bamboula".
Philippe Bilger relance la polémique quelques heures après un tweet de Christiane Taubira sur l'utilisation de ce terme.
L'ancien magistrat avait fait de Christiane Taubira l'une de ses cibles privilégiées lorsqu'elle était ministre de la Justice, estimant qu'elle menait à la chancellerie une politique laxiste.
Le tweet de Philippe Bilger
"On fait un drame de Bamboula. Me souviens de mes années de collège, où ce terle était beaucoup plus sympa, presque affectueux que raciste !"Indignation sur Twitter
Sitôt ce tweet publié samedi matin, les réseaux sociaux se sont enflammés pour dénoncer les propos de l'ancien magistrat.@BilgerPhilippe @Exterminator950 @bossleviss @jesigne3 @Lougris2 @Lemasquevengeur Pour le nostalgique Philippe Bilger souvenir d'enfance pic.twitter.com/HFgVIpBHkB
— Hocine (@bacry8) February 11, 2017
@BilgerPhilippe le bon vieux temps pr bilger c qd l'homme blanc insultait son negre 2 maison.... Avec une grande affection.. Sacré Philippe
— Bouziane Mehdi (@BouzianeMehdi75) February 11, 2017
Comment peut-on être d'une bêtise aussi crasse... Ferme-la Bilger tu pollues...! https://t.co/ogYNlek3No
— Urbain Jacques (@urbain28) February 11, 2017
@askolovitchC J'ai quitté un Bilger de droite mais censé et intéressant à écouter.
— Daniel Michaud (@DMichaud972) February 11, 2017
Ce Bilger là est vraiment infâme
Le tweet de Christiane Taubira
Philippe Bilger relance la polémique quelques heures après un tweet de Christiane Taubira sur l'utilisation de ce terme. L'ancien magistrat avait fait de Christiane Taubira l'une de ses cibles privilégiées lorsqu'elle était ministre de la Justice, estimant qu'elle menait à la chancellerie une politique laxiste.