Le 27 septembre 2020 se dérouleront les élections sénatoriales. 172 sièges sont renouvellés lors de ce scrutin qui se déroule au suffrage universel indirect. Pour les Outre-mer, sont concernés la Guyane, la Polynésie, Wallis et Futuna, Saint-Martin et Saint-Barthélémy.
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Le 27 septembre 2020, 172 sièges (sur 348 au total) du Sénat seront à pourvoir. Le Sénat est renouvelable par moitié tous les trois ans, les sénateurs étant élus pour un mandat de six ans. Les sénateurs sont élus au suffrage universel indirect, autrement dit ce ne sont pas les électeurs qui votent, mais des grands électeurs (délégués des conseils municipaux, députés et sénateurs de la circonscription, conseillers régionaux et départementaux).
La Polynésie dispose également de deux fauteuils de sénateurs. Les sortants, Lana Tetuanui et Nuihau Laurey se représentent. Ils auront face à eux trois adversaires. En Polynésie 713 grands électeurs votent pour ce scrutin.
Wallis et Futuna dispose d'un siège au Sénat. Le sortant, Robert Laufoaulu, se représente. Il est sénateur du territoire depuis 1998. Il aura face à lui quatre candidats. Pour ce scrutin, on compte 22 grands électeurs.
Saint-Martin dispose d'un siège. Le sénateur sortant, Guilllaume Arnell, se représente, face à trois adversaires. Le sénateur de Saint-Martin est élu par 24 grands électeurs.
Saint-Barthélémy dispose d'un siège au Sénat. Le sortant, Michel Magras, ne se représente pas mais il n'y a aucun doute sur l'identité de son successeur : il n'y a qu'une seule candidate pour ce scrutin. Les 21 grands électeurs n'auront donc pas vraiment le choix.