En visite aux Antilles-Guyane depuis le 17 avril, François Fillon multiplie les actions et déclarations pour séduire son électorat en vue des primaires à droite. En campagne, l’ancien premier ministre a qualifié l’Outre-mer « d’antidote de la petite France ».
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Un peu plus d’une semaine après Alain Juppé, c’est au tour de François Fillon d'essayer de séduire les Antilles-Guyane. Arrivé le 17 avril en Guadeloupe, l’ancien premier ministre a enchainé, lundi et mardi, les visites sur le terrain à la rencontre des politiques et des acteurs économiques de l’île. François Fillon qui accorde une place « prioritaire à l’autorité », a échangé avec les policiers du commissariat de Pointe-à-Pitre.
Avant son départ pour la Martinique, mercredi, il a conclut son séjour en Guadeloupe par un discours devant 200 personnes à Saint-François. Parmi eux le secrétaire départemental des Républicains et maire de la ville, Laurent Bernier.
« Ceux qui à Paris considèrent que l'Outre-mer est un problème, un dossier, une charge, ceux-là n'ont pas compris que l'Outre-mer c'est l'antidote de la petite France», a déclaré le candidat des primaires à droite (20 et 27 novembre 2016).
François Fillon a également abordé le thème de la libéralisation du poids des réglementations, normes et taxes entre autres thématiques. Il a aussi expliqué vouloir « fusionner toutes les allocations sociales en une seule qui ne pourra jamais dépasser les revenus du travail ».
Avant son départ pour la Martinique, mercredi, il a conclut son séjour en Guadeloupe par un discours devant 200 personnes à Saint-François. Parmi eux le secrétaire départemental des Républicains et maire de la ville, Laurent Bernier.
« L’Outre-mer c’est l’antidote de la petite France »
Tout au long de sa prise de parole, François Fillon a voulu affirmer la place importante des Outre-mer qu’il considère comme un atout. Pour lui, ils permettent un enrichissement du pays.« Ceux qui à Paris considèrent que l'Outre-mer est un problème, un dossier, une charge, ceux-là n'ont pas compris que l'Outre-mer c'est l'antidote de la petite France», a déclaré le candidat des primaires à droite (20 et 27 novembre 2016).
François Fillon a également abordé le thème de la libéralisation du poids des réglementations, normes et taxes entre autres thématiques. Il a aussi expliqué vouloir « fusionner toutes les allocations sociales en une seule qui ne pourra jamais dépasser les revenus du travail ».