Le public brésilien, tant décrié par le perchiste français Renaud Lavillenie a encore donné de la voix pour supporter son équipe de handball ce mercredi (et huer ses adversaires). Resultat: les Experts ont adoré.
Ils hurlent. Ils chantent. Ils sautent, ils sifflent aussi, et huent souvent. Le public brésilien a beaucoup fait parler de lui après les propos du perchiste français Renaud Lavillenie. Le Français a perdu son titre olympique face au Brésilien Thiago Braz da Silva, qui galvanisé par ses supporters, a battu son record personnel de 10 centimètres.
Le Français, s’il a salué la performance de son adversaire, s’est plaint du public, qui n’hésitait pas à le huer et le siffler pendant sa préparation, allant même jusqu’à se comparer à Jesse Owens en Allemagne nazie, ce dont-il s'est par la suite excusé.
La polémique qui a suivi s’est un peu apaisée lorsque le comité olympique a pris l’initiative d’organiser une cérémonie d’excuses, en privé. Il faut dire que le lendemain de sa compétition, c’est un Lavillenie en larmes qui a reçu sa médaille, de nouveau sous les sifflements du public.
Et les spectateurs brésiliens, au hand comme ailleurs, ce sont des hommes, femmes enfants qui portent des t-shirts et des drapeaux jaunes et verts un peu partout dans l’arène. Et qui parfois peaufinent leur tenue jusque dans les gradins.
Des supporters qui donnent de la voix tous ensemble, qui crient, célèbrent les buts de leurs équipe, sifflent les adversaires, les huent lorsqu’ils doivent tirer un pénalty et continuent de chanter pour leur équipe une fois la fin du match passée. Malgré la défaite.
Et les joueurs qu’en pensent-ils ? Si Didier Dinart, l’entraineur adjoint des Bleus a évoqué une ambiance "hostile", l’arrière-gauche Daniel Narcisse a lui trouvé ça “génial de voir autant d’engouement et d’ambiance”. “C’est plutôt sympa de jouer dans des conditions comme ça”, a-t-il ajouté.`
Le Français, s’il a salué la performance de son adversaire, s’est plaint du public, qui n’hésitait pas à le huer et le siffler pendant sa préparation, allant même jusqu’à se comparer à Jesse Owens en Allemagne nazie, ce dont-il s'est par la suite excusé.
La polémique qui a suivi s’est un peu apaisée lorsque le comité olympique a pris l’initiative d’organiser une cérémonie d’excuses, en privé. Il faut dire que le lendemain de sa compétition, c’est un Lavillenie en larmes qui a reçu sa médaille, de nouveau sous les sifflements du public.
#Omniprésents
Reste la question: le public brésilien est-il vraiment trop ? Trop chauvin, trop irrespectueux ? Une chose est sure, à chaque compétition, quelque soit la discipline, il sait se faire entendre pour soutenir ses athlètes. Ce mercredi l’équipe de France de handball affrontait le Brésil en quarts de finale... dans une Future Arena remplie de spectateurs brésiliens.Et les spectateurs brésiliens, au hand comme ailleurs, ce sont des hommes, femmes enfants qui portent des t-shirts et des drapeaux jaunes et verts un peu partout dans l’arène. Et qui parfois peaufinent leur tenue jusque dans les gradins.
Des supporters qui donnent de la voix tous ensemble, qui crient, célèbrent les buts de leurs équipe, sifflent les adversaires, les huent lorsqu’ils doivent tirer un pénalty et continuent de chanter pour leur équipe une fois la fin du match passée. Malgré la défaite.
Le public Brésilien pendant France Bresil (victoire de la France) #handball #Rio2016 pic.twitter.com/EB1Brqhxaw
— Maïté Koda (@AyalaKoda) 17 août 2016
Et les joueurs qu’en pensent-ils ? Si Didier Dinart, l’entraineur adjoint des Bleus a évoqué une ambiance "hostile", l’arrière-gauche Daniel Narcisse a lui trouvé ça “génial de voir autant d’engouement et d’ambiance”. “C’est plutôt sympa de jouer dans des conditions comme ça”, a-t-il ajouté.`
D.Narcisse s/ le public Bresilien:"c'est génial de voir autant d'engouement, de jouer devant eux" #Rio2016 #handball pic.twitter.com/CFXNfY2mGI
— La1ere.fr (@la1ere) 17 août 2016
#Les adieux de Florent Piétrus
Les basketteurs français sont sortis de la compétition. Les Bleus ont encaissé une lourde défaite en quart de finale face à l’Espagne, 92-67. C’était aussi le dernier match de Florent Piètrus en équipe de France, qu’il avait intégrée pour la première fois en 2001. Une équipe avec laquelle le Guadeloupéen a été champion d’Europe en 2013, un titre qui reste sans aucun doute son meilleur souvenir…#Riner en soutien
Florent Pietrus n’est pas le seul à stopper sa carrière internationale sur ces jeux. C’est aussi le cas de Mickael Gelabale ou encore de la super star Tony Parker. Et pour ce dernier match, l’ami de ce dernier, le judoka Teddy Riner était dans les tribunes. “C’est dur parce que tout le monde aurait aimé qu’ils repartent d’ici avec une belle médaille. Une médaille autour du cou ça change tout”, a poursuivi le double champion olympique. L’occasion également pour ce porte drapeau de détailler son très chargé emploi du temps à Rio, même une fois la compétition terminée.#Echec et larmes
Elle a échoué à se qualifier pour la demi finale du 800 mètres, avec une temps de 2’02’19. C’est une Rénelle Lamotte très émue qui a tenu à saluer la Guadeloupe dès sa sortie de piste.Grande déception pour Rénelle Lamote qui rate sa qualif au 800m. Elle envoie un message à la Guadeloupe #rio2016 pic.twitter.com/GIxmJ0hUqy
— La1ere.fr (@la1ere) 17 août 2016