Autodidacte, Lauwaart est une artiste digitale qui fourmille de projets. Cette jeune Martiniquaise, qui envisageait une carrière dans le tourisme, s'est finalement tournée avec enthousiasme vers la création multimédia.
Nos passions d’enfance sont souvent déterminantes dans les orientations de notre existence. C’est sans doute le cas de l’artiste digitale Lauwaart (son pseudonyme), 23 ans, qui dessine depuis toute petite. Après un bac littéraire obtenu dans son île natale de la Martinique, puis une année passée à l’université de la Barbade pour perfectionner son anglais, elle décroche un BTS de tourisme à Paris.
« Mais durant mes études j’avais autre chose en tête, c’était plutôt le design graphique », confie Lauwaart. Aussi décide-t-elle de se lancer. Après une inscription en master 1 de design graphique et des alternances en entreprise, elle s’organise pour se mettre à son compte en 2017. « Je n’ai jamais vraiment suivi de cursus dans cette branche, j’ai appris seule toutes les bases et je me considère comme autodidacte » précise-t-elle. « En tant qu’artiste digitale, je travaille sur ordinateur et sur tablette graphique pour le dessin, avec des logiciels comme Photoshop. Tout ce que je réalise est principalement multimédia. »
Lauwaart travaille notamment sur commandes, qui vont de la réalisation d’une photo de profil à des portraits ou illustrations à imprimer sur des stickers, des posters ou sous forme de tableaux. La veine créative de la jeune fille est surtout composée de portraits de personnes. « J’observe beaucoup les gens, que ce soit dans la vie réelle ou à la télévision et au cinéma, et cela m’inspire dans mon travail », dit-elle. « Ceci dit mon art évolue avec moi et je ressens actuellement le besoin de peindre autre chose, comme des paysages par exemple ».
Depuis trois mois, Lauwaart a un atelier à Ivry-sur-Seine, au sein d’une ancienne usine désaffectée reprise par l’association Le Soft, qui rassemble artistes, écrivains, artisans, musiciens, etc. venus de tous horizons. « Si tout se passe bien je vais pouvoir développer des cours de peinture digitale dans cet espace », souligne Lauwaart. Elle envisage également d’y peindre à l’aquarelle et à l’huile, ce qu’elle ne peut faire chez elle à cause des émanations. « J’ai plein de projets en tête et tous les jours j’essaie d’en faire un peu plus pour continuer à avancer ». La créatrice martiniquaise participera notamment cet été au Festival Afropunk.
>> Retrouvez le site de Lauwaart ici
« Mais durant mes études j’avais autre chose en tête, c’était plutôt le design graphique », confie Lauwaart. Aussi décide-t-elle de se lancer. Après une inscription en master 1 de design graphique et des alternances en entreprise, elle s’organise pour se mettre à son compte en 2017. « Je n’ai jamais vraiment suivi de cursus dans cette branche, j’ai appris seule toutes les bases et je me considère comme autodidacte » précise-t-elle. « En tant qu’artiste digitale, je travaille sur ordinateur et sur tablette graphique pour le dessin, avec des logiciels comme Photoshop. Tout ce que je réalise est principalement multimédia. »
Lauwaart travaille notamment sur commandes, qui vont de la réalisation d’une photo de profil à des portraits ou illustrations à imprimer sur des stickers, des posters ou sous forme de tableaux. La veine créative de la jeune fille est surtout composée de portraits de personnes. « J’observe beaucoup les gens, que ce soit dans la vie réelle ou à la télévision et au cinéma, et cela m’inspire dans mon travail », dit-elle. « Ceci dit mon art évolue avec moi et je ressens actuellement le besoin de peindre autre chose, comme des paysages par exemple ».
Depuis trois mois, Lauwaart a un atelier à Ivry-sur-Seine, au sein d’une ancienne usine désaffectée reprise par l’association Le Soft, qui rassemble artistes, écrivains, artisans, musiciens, etc. venus de tous horizons. « Si tout se passe bien je vais pouvoir développer des cours de peinture digitale dans cet espace », souligne Lauwaart. Elle envisage également d’y peindre à l’aquarelle et à l’huile, ce qu’elle ne peut faire chez elle à cause des émanations. « J’ai plein de projets en tête et tous les jours j’essaie d’en faire un peu plus pour continuer à avancer ». La créatrice martiniquaise participera notamment cet été au Festival Afropunk.
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