Immortalisé par le photographe Yann Arthus-Bertrand, le cœur de Voh est devenu le symbole de la Nouvelle-Calédonie. Mais il n’y a pas que le caillou qui possède un cœur. Dans l’espace, Mars et surtout Pluton abritent des cœurs impressionnants !
Aux rencontres de Ciel et espace à la cité des sciences et de l’industrie à Paris ce week-end, de nombreux chercheurs sont venus livrer leurs dernières découvertes. Parmi eux, François Forget. Il est l’un des rares français à participer à la mission New Horizons.
Pour François Forget, directeur de recherche au CNRS, les cœurs sont "monnaie courante" dans l’espace. Par exemple "sur Mars, lorsque deux cratères se trouvent l’un sur l’autre, à la fin cela forme un cœur, on a de nombreux exemples très impressionnants sur Mars qui ressemblent au cœur de Voh en Nouvelle-Calédonie.
"Mais le comble vient de Pluton que l’on a survolé le 14 juillet 2015 grâce à la sonde New Horizons, précise François Forget (…) et là, on a vu un énorme cœur rempli de glace d’azote qui fait 2 000 voir 3 000 kilomètres de largeur".
>>Regardez l'interview de François Forget, directeur de recherche au
Le coeur de Pluton
Cette sonde américaine a survolé Pluton le 14 juillet 2015. Elle a permis d’en savoir plus sur cette planète naine découverte par l’astronome américain Clyde Tombaugh en 1930. Et ce qui saute aux yeux en regardant les clichés livrés par New Horizons, c’est cet immense cœur qui caractérise Pluton. A côté, le cœur de Voh paraît minuscule !
Cœurs sur Mars
Pour François Forget, directeur de recherche au CNRS, les cœurs sont "monnaie courante" dans l’espace. Par exemple "sur Mars, lorsque deux cratères se trouvent l’un sur l’autre, à la fin cela forme un cœur, on a de nombreux exemples très impressionnants sur Mars qui ressemblent au cœur de Voh en Nouvelle-Calédonie.
Pluton, un cœur exceptionnel
"Mais le comble vient de Pluton que l’on a survolé le 14 juillet 2015 grâce à la sonde New Horizons, précise François Forget (…) et là, on a vu un énorme cœur rempli de glace d’azote qui fait 2 000 voir 3 000 kilomètres de largeur". >>Regardez l'interview de François Forget, directeur de recherche au
CNRS :