1Son programme
Remise de la Légion d'honneur à Marie-Claude Tjibaou, ce lundi soir, au haussariat, prise d'armes à Bir-Hakeim mardi matin, échanges avec des jeunes au centre culturel Tjibaou, rendez-vous à Touho sur les effets du changement climatique, visite d'une exploitation agricole, réunion de travail sur le nickel, rencontres politiques et discours sur la place des Cocotiers mercredi : le programme complet et actualisé de la visite présidentielle est à retrouver ici.
2Comment suivre la visite ?
Mercredi, à 14 heures, Emmanuel Macron s'adressera en direct aux Calédoniens sur la place des Cocotiers, où il est conseillé d'arriver dès 11 heures. Ce sera le moment de rencontre le plus ouvert. Les nombreux autres rendez-vous prévus à l'agenda surchargé du président se feront en petit comité. Mais, sur le site Internet, à la télé et à la radio, les journalistes de NC la 1ère seront mobilisés pour les relayer. Le programme de la couverture médiatique est à retrouver ici.
3Des perturbations à prévoir sur les routes
Mardi matin, il est vivement recommandé aux automobilistes qui le peuvent, d'éviter les abords de Bir-Hakeim, où la circulation et le stationnement seront de toute façon interdits. Mercredi, c'est le centre-ville qui sera en grande partie bouclé. Les voitures des contrevenants seront enlevées et placées dans une fourrière temporaire, prévient la municipalité. Toutes les informations sont à retrouver ici.
4 Des surprises ?
Si l'Elysée s'efforce de cadrer au mieux les visites présidentielles, incluant parfois des "surprises" (un bain de foule non programmé officiellement ?), impossible d'écarter tout imprévu. Lors de sa venue, en mai 2018, Emmanuel Macron avait été accueilli par une manifestation "bleu, blanc, rouge", les partisans du maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la France estimant son programme trop orienté vers les attentes de la population kanak.
Cette fois, le comité régional de Paîcï-Cèmuhi de l’Union calédonienne appelle déjà les militants et sympathisants à se réunir à Touho, où le chef de l'Etat doit se rendre mardi, pour dénoncer "ses partis pris".
De nombreuses associations ont par ailleurs adressé des courriers, espérant que le président de la République trouve le temps de les rencontrer pour échanger sur des sujets jugés urgents : le handicap, la place de la société civile dans les discussions sur l'avenir du pays, la sécurité, etc. Mais, à moins de rallonger son séjour, difficile d'imaginer qu'il puisse répondre à leurs attentes. Certains échanges, avec les élus par exemple, étant voués à durer plus que prévu.