Les beaux jours sont arrivés ! Alors dansez maintenant avec le Carnaval Tropical de Paris et Max Diakok ; riez aussi avec la dernière prestation de l'humoriste Mrick; swinguez avec Stéphane Castry et Jean-Philippe Fanfant au Nubia et enfin, divertissez-vous avec un ouvrage sur les objets d'antan.
La 17ème édition du carnaval tropical de Paris et de l’île de France va inonder de couleurs, de musiques et de groupes les Champs-Elysées ce dimanche 1er juillet. A partir de 13h, pas moins de 35 associations (environ 2500 carnavaliers) vont montrer ce qu’est la culture du carnaval aux Antilles, en Haïti et ailleurs. Un jury décernera plusieurs prix : meilleurs costume, char, groupe à peaux, etc…Alors attention aux yeux et aux palais avec ces bouffées de tropiques l’espace d’une journée.
Humour
Mrick au Mélo d’Amélie (dernière, ce samedi 30 juin) On sait les difficultés rencontrées par nos humoristes pour travailler ici dans l'hexagone. Alors chapeau à Mrick, jeune comique issu de cette nouvelle scène qui cherche à percer dans l’Hexagone. Samedi, ce sera sa dernière prestation au mélo d’Amélie. Il y jouait environ une fois par semaine depuis le mois d’avril.
Danse
J’habite une blessure sacrée de Max Diakok (du 4 au 8 juillet à Vitry-sur-seine, Gare au Théâtre, 19h). J’habite une blessure blessée est le titre d’un poème d’Aimé Césaire. Pour le chorégraphe Max Diakok, son solo est un dialogue entre deux nécessités, la quête métaphysique et la lutte émancipatrice. Pour ceux qui ne l’auraient pas vu en début d’année, voici une session de rattrapage. Ces représentations s’inscrivent dans un contre-festival "Nous n’irons pas à Avignon" (du 4 au 22 juillet, 140 représentations) qui s’adressent donc à ceux qui ne se rendront pas en Avignon.
Musique
Latin jazz Trio. Dominique Fillon, Stéphane Castry et Jean-Philippe Fanfant au Nubia, ce jeudi soir 28 juin au Nubia. Du lourd pour nous rejouer la musique de "voila ce qu’est le jazz caribéen". Pour notre plus grand plaisir.
Livre
Mi Yo de Laura Manne et Hector Poullet. Il fut un temps aux Antilles (19è et 20è siècles), où les cases et les lolos saturaient le paysage. Avec des objets, indispensables à l’époque, objets de déco aujourd’hui. Mi Yo redonne vie à une cinquantaine de ces ustensiles comme la jarre, la machine à coudre, le pot au lait, le lance-pierre, la boite à crabes, la baille de bain, etc... Un livre bain de jouvence.