Après avoir fait de nombreuses salles parisiennes telles que le Casino de Paris et le Zénity, à guichets fermés, l’humoriste martiniquais Jean-Yves Rupert s'est lancé un challenge de taille pour ses 30 ans de carrière : se produire à Bercy ! C'est désormais chose faite.
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C’est à l’occasion de la première édition de la "Nuit du rire créole" que le trublion martiniquais s’est illustré samedi 9 avril ausoir, devant près de 8.000 spectateurs !
Sa longévité dans le monde de l’humour créole, Jean-Yves Rupert la doit à un travail acharné. Il reste lucide et garde la tête froide. "Je fais les choses simplement. Se sont souvent les personnes qui m’interpellent et me rappellent tout ce que j’ai pu faire. Pour autant, je ne prends pas la grosse tête !" sourit-il.
A l‘image de l’ultra-connecté, Gilles Saint-Louis. Honoré de pouvoir partager sa première grande scène parisienne en présence de son « modèle » Jean-Yves Rupert. Il se remémore "Les cassettes VHS (qu’il visionnait) de Jean-Yves Rupert. J’ai grandi avec lui. Et maintenant, jouer avec lui sur scène c’est un rêve qui se réalise".
Sa longévité dans le monde de l’humour créole, Jean-Yves Rupert la doit à un travail acharné. Il reste lucide et garde la tête froide. "Je fais les choses simplement. Se sont souvent les personnes qui m’interpellent et me rappellent tout ce que j’ai pu faire. Pour autant, je ne prends pas la grosse tête !" sourit-il.
Le reportage d'Outre-mer 1ère France Ô
Un spectacle de deux heures
Pendant près de deux heures, l’humoriste enchaîne les sketches et les changements de costumes. Tantôt dragueur professionnel, mari désespéré, tantôt grimée en femme, à l’image de l’un de ses personnages phares : « Man Finot ». Cette femme antillaise superstitieuse provoque l’hilarité dans l’assistance avec ses mimiques.La relève est assurée
Cette première édition de la « Nuit du rire créole » a aussi était l’occasion de présenter au grand public une nouvelle génération d’humoristes antillais.A l‘image de l’ultra-connecté, Gilles Saint-Louis. Honoré de pouvoir partager sa première grande scène parisienne en présence de son « modèle » Jean-Yves Rupert. Il se remémore "Les cassettes VHS (qu’il visionnait) de Jean-Yves Rupert. J’ai grandi avec lui. Et maintenant, jouer avec lui sur scène c’est un rêve qui se réalise".