À l’approche de la commémoration dans l’Hexagone de l’abolition de l’esclavage, le 10 mai, trois jeunes ultramarins confient leur rapport avec ce pan de l’histoire qui continue à marquer les générations.
Valérie, Romain et Ophélie ont respectivement 21, 27 et 22 ans. Ils viennent de La Réunion et de Guadeloupe, territoires marqués par la violente histoire de l’esclavage.
Tous partagent le même sentiment : celui d’une défaillance dans la transmission de cette mémoire qui fait partie intégrante de leur identité.
Alors les trois étudiants ont décidé de prendre cet héritage en main et mènent eux-mêmes leur propres recherches pour nouer un lien plus fort avec leur histoire et pouvoir l’enseigner aux générations futures.
Tous partagent le même sentiment : celui d’une défaillance dans la transmission de cette mémoire qui fait partie intégrante de leur identité.
Alors oui, on nous apprend la Première Guerre Mondiale, la Seconde Guerre Mondiale. Mais en tant que Réunionnais quand même, on a une histoire assez particulière. On parle d'esclavage ! Et je trouve ça très dommage qu'on n'en parle pas assez.
- Valérie, 21 ans, Réunionnaise
Alors les trois étudiants ont décidé de prendre cet héritage en main et mènent eux-mêmes leur propres recherches pour nouer un lien plus fort avec leur histoire et pouvoir l’enseigner aux générations futures.