Le Centre hospitalier universitaire de la Martinique (CHUM) va participer, début juillet, à un programme de recherche pour "proposer une solution durable contre le virus du Chikungunya". Il recherche 50 volontaires.
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Le Centre hospitalier universitaire de la Martinique (CHUM) va participer, début juillet, à un programme de recherche. L’objectif : "proposer une solution durable contre le virus du Chikungunya".
Dénommé "essai VRC 704", ce programme de tests cliniques a été mis au point par des chercheurs américains du National Institute of Health aux Etats-Unis. Il vise à tester le vaccin sur des personnes n'ayant pas encore contracté la maladie du Chikungunya.
Le lancement du programme "essai VRC" est prévu pour le "début du mois de juillet" 2016.
Fin janvier 2016, le centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre/les Abymes avait également fait appel à cinquante volontaires dans le cadre de ce même programme de test du vaccin.
En 2013 et en 2014, la Guadeloupe et la Martinique avaient été touchées par une épidémie de Chikungunya. La maladie transmise par le moustique provoque de fortes fièvres et des douleurs articulaires souvent invalidantes. Certains symptômes peuvent parfois être ressentis par les patients durant une longue période.
Dénommé "essai VRC 704", ce programme de tests cliniques a été mis au point par des chercheurs américains du National Institute of Health aux Etats-Unis. Il vise à tester le vaccin sur des personnes n'ayant pas encore contracté la maladie du Chikungunya.
Recherche 50 volontaires
Les responsables en charge de cet essai au CHUM recherchent cinquante volontaires en bonne santé et âgés de 18 à 60 ans. Douze visites étalées sur une période de 18 mois sont prévues dans le cadre de ce programme.Le lancement du programme "essai VRC" est prévu pour le "début du mois de juillet" 2016.
D’autres îles des Caraïbes concernées
D'autres îles des Caraïbes qui avaient été touchées entre 2013 et 2014 par une épidémie de Chikungunya y participent également. C'est le cas de Porto-Rico, de la République dominicaine, d'Haïti et de la Guadeloupe.Fin janvier 2016, le centre hospitalier universitaire de Pointe-à-Pitre/les Abymes avait également fait appel à cinquante volontaires dans le cadre de ce même programme de test du vaccin.
En 2013 et en 2014, la Guadeloupe et la Martinique avaient été touchées par une épidémie de Chikungunya. La maladie transmise par le moustique provoque de fortes fièvres et des douleurs articulaires souvent invalidantes. Certains symptômes peuvent parfois être ressentis par les patients durant une longue période.