Après son exposition « Unités 4.8 » dans les jardins du ministère des Outre-mer, le peintre et sculpteur martiniquais Phélix Ludop présente une partie de son œuvre à Villetaneuse, en banlieue parisienne, à partir de jeudi.
Samedi et dimanche dernier, l’exposition intitulée « Unités 4.8 » du peintre martiniquais Phélix Ludop agrémentait les jardins du ministère des Outre-mer. Cette pièce unique et monumentale, constituée de 48 tableaux aux formes géométriques rassemblés sur 60m2, a demandé pas moins de sept ans de travail à son créateur. Elle fut présentée pour la première fois en 2006 sur le toit de la Grande Arche de la Défense, pour marquer de façon singulière le passage au troisième millénaire.
« Unités parce que ces 48 pièces sont d’une géométrie identique qui montrent une unité d’ensemble », explique Phélix Ludop à La1ere.fr. « On y retrouve l’architecture du centre qui est ovoïde, et qui symbolise différentes genèses. Par exemple celles des animaux, des humains, des plantes, etc. Chaque module peut représenter une espèce mais c’est l’ensemble qui crée cette unité qui permet au tout d’exister. »
Pour qualifier son œuvre, l’artiste a forgé un néologisme : la « Ludopie » (adjectif : « ludopien »). « Pour moi c’est un état de dynamisme, de générosité, d’empathie et de mouvement », dit-il dans un sourire. « C’est une dynamique du savoir, de la maîtrise et de l’efficacité. Une approche scientifique de l’art aussi ».
Cependant, Phélix Ludop, qui a fait des études d’architecture d’intérieur puis de marketing en stratégie de communication, se considère également comme « un facilitateur et un lobbyiste ». « En fait je fusionne des éléments. Mes mains font de l’art, des gens l’ont acheté et je me suis senti responsable de leur investissement. Et puis j’ai continué avec persévérance. Ma qualité de consultant m’a permis d’intégrer mon travail et mon œuvre, et de la vendre ».
Prochaine expo de Phélix Ludop :
« Unités parce que ces 48 pièces sont d’une géométrie identique qui montrent une unité d’ensemble », explique Phélix Ludop à La1ere.fr. « On y retrouve l’architecture du centre qui est ovoïde, et qui symbolise différentes genèses. Par exemple celles des animaux, des humains, des plantes, etc. Chaque module peut représenter une espèce mais c’est l’ensemble qui crée cette unité qui permet au tout d’exister. »
La "Ludopie"
Passionné de physique quantique, de théorie cosmique, de mythologie et de spiritualité, Phélix Ludop (photo) considère ses ovoïdes en peinture comme « des lobes du cerveau avec d’immenses ramifications qui lient les uns aux autres. » « Je suis très attaché aux symboles. Cela se retrouve dans mon travail et c’est même proche du mystique », confie-t-il.Pour qualifier son œuvre, l’artiste a forgé un néologisme : la « Ludopie » (adjectif : « ludopien »). « Pour moi c’est un état de dynamisme, de générosité, d’empathie et de mouvement », dit-il dans un sourire. « C’est une dynamique du savoir, de la maîtrise et de l’efficacité. Une approche scientifique de l’art aussi ».
Cependant, Phélix Ludop, qui a fait des études d’architecture d’intérieur puis de marketing en stratégie de communication, se considère également comme « un facilitateur et un lobbyiste ». « En fait je fusionne des éléments. Mes mains font de l’art, des gens l’ont acheté et je me suis senti responsable de leur investissement. Et puis j’ai continué avec persévérance. Ma qualité de consultant m’a permis d’intégrer mon travail et mon œuvre, et de la vendre ».
Prochaine expo de Phélix Ludop :
« Imachinations »
Art, espace, lumière
Exposition collective d’art contemporain
Du jeudi 13 octobre au jeudi 10 novembre 2016
Hôtel de ville de Villetaneuse (avec HCE Galerie)