Dans un article publié mardi 24 octobre, le quotidien Financial Times de Londres souligne que "le sentiment du marché mondial commence à changer favorablement pour le nickel". Les batteries des véhicules électriques dopent la demande mondiale. Une bonne nouvelle pour Vale en Nouvelle-Calédonie
Les analystes et les investisseurs prévoient « une forte augmentation de la demande mondiale en sulfate de nickel pour les batteries des véhicules électriques » indique le Financial Times. Et l’usine calédonienne du Sud en est productrice. « C'est une très bonne nouvelle pour les usines qui produisent des sulfates de nickel et c’est un élément très positif pour l’avenir de l’usine de nickel de Vale en Nouvelle-Calédonie » déclare Robin Bhar, directeur des prévisions pour les métaux industriels de la Société Générale à Londres.
Un marché organisé
Contrairement à d'autres métaux essentiels aux batteries des véhicules électriques comme le lithium et le cobalt, le nickel est plus facile à négocier via des contrats passés à Londres (LME) et Shanghai (SHFE). Il est plus facile de se procurer du nickel auprès des producteurs. Et le Financial Times de citer Vale mais aussi Glencore et Nornickel.
Nickel, cobalt et lithium
Dans sa dernière note, l’analyste Wood Mackenzie estime que l'essor attendu des véhicules électriques va conduire à une pénurie structurelle sur le marché du nickel qu'il voit apparaître d'ici 2025. « Les analystes estiment que la demande de métaux dans les batteries atteindra 220 000 tonnes en 2025 ». Wood Mackenzie prévoit que les ventes de véhicules électriques passeront de 2,4 millions en 2016 à 14,2 millions en 2025.
Le bon choix du nickel
De son côté, le Metal Bulletin de Londres s’apprête à publier une enquête sur les usines de nickel concernées. Elle retiendra l’usine calédonienne du Sud (VNC) de Vale. Selon le M.B aussi, la demande massive de nickel pour les batteries des véhicules électriques constitue une planche de salut. C'est dans ce contexte que le coût de production de l’usine du Sud ne cesse de s'améliorer.
Il se situe depuis le 1er septembre au niveau de la moyenne des prix de la tonne de nickel à la Bourse des métaux de Londres (11.170$ - 5,06Ib).
Mercredi soir à Londres
Ainsi va le marché du nickel, il aura suffi que le producteur indonésien Antam indique avoir reçu une autorisation pour exporter 1,25 million de tonnes supplémentaires de minerai, pour que les prix baissent. Le nickel qui avait franchi le seuil des 12.000 $ mardi, se négocie mercredi autour de 11.860 $. La hausse des exportations indonésiennes vient peser sur les prix.
Un marché organisé
Contrairement à d'autres métaux essentiels aux batteries des véhicules électriques comme le lithium et le cobalt, le nickel est plus facile à négocier via des contrats passés à Londres (LME) et Shanghai (SHFE). Il est plus facile de se procurer du nickel auprès des producteurs. Et le Financial Times de citer Vale mais aussi Glencore et Nornickel.
Nickel, cobalt et lithium
Dans sa dernière note, l’analyste Wood Mackenzie estime que l'essor attendu des véhicules électriques va conduire à une pénurie structurelle sur le marché du nickel qu'il voit apparaître d'ici 2025. « Les analystes estiment que la demande de métaux dans les batteries atteindra 220 000 tonnes en 2025 ». Wood Mackenzie prévoit que les ventes de véhicules électriques passeront de 2,4 millions en 2016 à 14,2 millions en 2025.
Le bon choix du nickel
De son côté, le Metal Bulletin de Londres s’apprête à publier une enquête sur les usines de nickel concernées. Elle retiendra l’usine calédonienne du Sud (VNC) de Vale. Selon le M.B aussi, la demande massive de nickel pour les batteries des véhicules électriques constitue une planche de salut. C'est dans ce contexte que le coût de production de l’usine du Sud ne cesse de s'améliorer.
Il se situe depuis le 1er septembre au niveau de la moyenne des prix de la tonne de nickel à la Bourse des métaux de Londres (11.170$ - 5,06Ib).
Mercredi soir à Londres
Ainsi va le marché du nickel, il aura suffi que le producteur indonésien Antam indique avoir reçu une autorisation pour exporter 1,25 million de tonnes supplémentaires de minerai, pour que les prix baissent. Le nickel qui avait franchi le seuil des 12.000 $ mardi, se négocie mercredi autour de 11.860 $. La hausse des exportations indonésiennes vient peser sur les prix.