Gaël Monfils a convoqué une conférence de presse lundi à Paris-Bercy pour expliquer que son forfait au dernier Masters 1000 de l'année était dû à une vraie blessure, comme ses précédents renoncements à Roland-Garros ou en Coupe Davis.
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Pour donner du poids à son intervention, le joueur avait confié au médecin de la Fédération française de tennis (FFT), Bernard Montalvan, le soin de donner les détails de ses différentes blessures. Le praticien a expliqué que la blessure aux côtes qui justifie l'absence de Monfils à Paris-Bercy était une déchirure musculaire remontant au tournoi de Stockholm, il y a une dizaine de jours.
Le Français, 7e mondial, avait annoncé son forfait vendredi, au lendemain de l'officialisation de sa qualification pour son premier Masters des huit meilleurs joueurs du monde depuis le début de l’année, à partir du 13 novembre à Londres. Il s'est d'ailleurs dit confiant sur ses chances d'y participer. "Je récupère vite. J'y serai, et j'espère à 100%", a-t-il dit.
Enfin, concernant la maladie qui a privé le numéro 1 français de Roland-Garros, forfait annoncé le jour du tirage au sort, le médecin a déclaré que le virus n'avait jamais pu être identifié. "Ce n'est pas si rare que cela", a-t-il assuré.
Le Français, 7e mondial, avait annoncé son forfait vendredi, au lendemain de l'officialisation de sa qualification pour son premier Masters des huit meilleurs joueurs du monde depuis le début de l’année, à partir du 13 novembre à Londres. Il s'est d'ailleurs dit confiant sur ses chances d'y participer. "Je récupère vite. J'y serai, et j'espère à 100%", a-t-il dit.
Episode de la Coupe Davis
Il a été aussi question de l'épisode de la demi-finale de la Coupe Davis, contre la Croatie à Zadar, où Monfils avait jeté l'éponge à la veille du premier match. La cause était selon le Dr. Montalvan un problème tendineux ancien, dont la réapparition datait du milieu de l'été. Monfils a reconnu que l'explication officielle - il s'était fait mal dans l'escalier de son hôtel - n'était pas suffisante, attribuant cet erreur à une mauvaise communication.Enfin, concernant la maladie qui a privé le numéro 1 français de Roland-Garros, forfait annoncé le jour du tirage au sort, le médecin a déclaré que le virus n'avait jamais pu être identifié. "Ce n'est pas si rare que cela", a-t-il assuré.