Après leur victoire contre la Norvège, les Bleus poursuivent l'Euro ce dimanche avec un match plus facile en apparence contre l'Autriche (18h15), mais veilleront à aborder la rencontre avec humilité et sérieux : "Il ne faudrait pas qu'on gâche tout le travail qui a été fait", confie Didier Dinart.
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Depuis le début de la préparation du championnat d'Europe, le sélectionneur français avait fait du match du 12 janvier contre la Norvège une date butoir. "Les joueurs en avaient marre d'entendre cette date", sourit-il. Place désormais à l'Autriche, vaincue de justesse en match d'ouverture par la Biélorussie (26-27) et bien plus limitée que les vice-champions du monde norvégiens.
Sa sélection ne s'est pas qualifiée pour les trois dernières grandes compétitions internationales : ni le Mondial-2017, ni les JO de Rio, ni l'Euro-2016. Mais elle affiche des progrès, sous les ordres de son entraîneur Patrekur Johannesson, avec en ligne de mire le championnat d'Europe 2020 qui se jouera chez elle. Comme la France, les Autrichiens se présentent à cet Euro croate avec un groupe rajeuni, mené par l'arrière de Kiel Nikola Bilyk.
"Dans la culture de l'équipe de France, on a appris à toujours tout donner", ajoute le capitaine Cédric Sorhaindo. Après avoir laissé beaucoup d'énergie dans la confrontation avec la Norvège, l'effectif des Bleus devrait être remanié en partie face à l'Autriche pour économiser certains joueurs en vue de la conquête d'un quatrième titre européen. "Il faut les préserver et ne pas faire n'importe quoi, sachant qu'il y a quand même l'objectif d'engranger encore des points", affirme Dinart.
Sa sélection ne s'est pas qualifiée pour les trois dernières grandes compétitions internationales : ni le Mondial-2017, ni les JO de Rio, ni l'Euro-2016. Mais elle affiche des progrès, sous les ordres de son entraîneur Patrekur Johannesson, avec en ligne de mire le championnat d'Europe 2020 qui se jouera chez elle. Comme la France, les Autrichiens se présentent à cet Euro croate avec un groupe rajeuni, mené par l'arrière de Kiel Nikola Bilyk.
Pas de risque de décompression
"Si on avait un excès de confiance ou un manque d'humilité, ça pourrait nous jouer des tours", prévient Didier Dinart. "Ça reste un sport où il y a des choses à prendre au sérieux. L'équipe de France a un statut à respecter." Pas de risque de décompression, selon l'entraîneur guadeloupéen : "Ce sont des joueurs professionnels. Il n'y a pas lieu de baisser d'un ton l'engagement mis vendredi"."Dans la culture de l'équipe de France, on a appris à toujours tout donner", ajoute le capitaine Cédric Sorhaindo. Après avoir laissé beaucoup d'énergie dans la confrontation avec la Norvège, l'effectif des Bleus devrait être remanié en partie face à l'Autriche pour économiser certains joueurs en vue de la conquête d'un quatrième titre européen. "Il faut les préserver et ne pas faire n'importe quoi, sachant qu'il y a quand même l'objectif d'engranger encore des points", affirme Dinart.