C'est dimanche, prenez le temps de lire ou relire nos articles de la semaine. Dans l'actualité : La commission des enfants de la Creuse à La Réunion, le portrait d’un gardien du palais royal à Paris, le ralliement de Gaston Flosse à Nicolas Sarkozy et bien d‘autres sujets encore…
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#1 Les Réunionnais de la Creuse se font entendre
Pendant toute la semaine, la1ere.fr a suivi le dossier des Réunionnais de la Creuse. Ils sont plusieurs centaines d'enfants à avoir été exilés dans l'hexagone de 1963 à 1982 dans des départements peu peuplés tels que la Creuse, le Gers et le Cantal. Cette semaine, la commission nationale des enfants de la Creuse s'est rendue à La Réunion pour faire connaître ses premiers travaux et aller à la rencontre de ces Réunionnais qui ont vécu dans leur enfance cet exil.Deux Réunionnais exilés dans leur enfance et qui n'avaient jamais remis les pieds sur leur île se sont rendus à La Réunion pour la première fois à l'occasion de la venue de la commission des enfants de la Creuse. Il s'agit de Jean-Bernard Pranville et de Jean-Thierry Cheyroux. Ce dernier a retrouvé sa famille. (Reportage ci-dessous sur son parcours)
#2 Vincent Delacroix, un gardien passionné d’histoire
Vincent Delacroix est passionné d'histoire. Cet Antillais travaille depuis plus de 30 ans pour le ministère de la Culture. D'abord guide dans les musées, au Panthéon ou à Notre-Dame de Paris ; il est aujourd'hui gardien d'un des plus beaux lieux de la capitale : le domaine national du Palais-Royal.#3 Gaston Flosse choisit Nicolas Sarkozy
C’est désormais officiel : le Tahoeraa huiraatira, le parti de Gaston Flosse, va soutenir Nicolas Sarkozy pour l’élection présidentielle. Gaston Flosse va même faire campagne pour appeler les Tahitiens à voter Sarkozy lors de la primaire de la droite, le mois prochain. Ce choix était pourtant loin d’être évident. Lorsqu’il était président de la République, Nicolas Sarkozy avait voulu "tourner la page" de l’ère Gaston Flosse. Mais le chiraquien Alain Juppé a refusé de s’afficher avec le Vieux lion, en raison de ses nombreuses condamnations judiciaires.#4 Exposition de Phélix Ludop à Villetaneuse
Pour qualifier son œuvre, l’artiste a forgé un néologisme : la "Ludopie" (adjectif : « ludopien »). "Pour moi c’est un état de dynamisme, de générosité, d’empathie et de mouvement", dit-il dans un sourire. "C’est une dynamique du savoir, de la maîtrise et de l’efficacité. Une approche scientifique de l’art aussi".