"On m'a accueillie les bras ouverts" : après Chido et Dikeledi, des élèves mahorais ont rejoint l'Hexagone pour poursuivre leur scolarité
Face aux écoles en partie détruites par le cyclone Chido et au manque d'enseignants, des parents mahorais ont fait le choix d'inscrire leurs enfants dans l'Hexagone pour qu'ils puissent avoir leur brevet ou leur baccalauréat. Au prix, parfois, d'une séparation très difficile.